The Caligula Effect 2: Review

Jeux de jeu de rôle uyapo, avec toutes leurs excentricités, il y a au moins un avantage sur, conditionnellement, occidental – s’ils restent principalement dans le système de coordonnées «Elfes, nains, fantaisie, post -apocalypse et mal», alors JRPG aime parler à parler sur des sujets sociaux pertinents. L’un des emblématiques de ce sens, bien sûr, est une série Personnage.

Donc, Tadasi Satomi (Tadashi Satomi), scénariste Révélations: Persona, Persona 2: péché innocent, Persona 2: punition éternelle, ainsi que Shin Megami Tensei: Digital Devil Saga, a travaillé sur une série L’effet Caligula. La deuxième partie a été publiée l’automne dernier sur PS4 et Switch et maintenant je suis finalement arrivé sur le PC. Ça valait la peine d’attendre? Et comment les auteurs ont travaillé sur les erreurs de la première partie?

Vivre dans sa vie

Les deux L’effet Caligula – Jeux très conceptuels et très japonais. Il n’est pas si facile pour une personne de l’extérieur de comprendre ce qui se passe ici et pas moins difficile pour lui de l’expliquer. Mais j’essayerai. Bref, ce sont des jeux sur l’école et de quitter la réalité virtuelle. Oui, Tadasi Satomi Encore une fois, les Japonais (et très pertinents pour eux) étaient préparés pour les tentatives d’oublier dans les mondes virtuels.

Dans la première partie (je suis sorti en 2016, et deux ans plus tard, un remake est apparu, L’effet Caligula: surdosage) Ce monde est devenu Mobius, où les gens fatigués des inquiétudes quotidiennes sont tombés. Là, ils se sont transformés en jeunes écoliers pour toujours qui ne se souviennent de rien de leur vie passée, de leur études, produites, agissent encore et encore heureuses, pleines d’espoirs et de tout ce qui est lié à la jeunesse.

Un merveilleux artiste japonais Oguchi (Oguchi) a travaillé sur l’effet Caligula: Overdose. Au-dessus de la suite – aussi.

Pour la création de Mobius, une «idole virtuelle» nommée Mu, qui voulait le meilleur et qui s’est avérée comme toujours, est responsable. En fait, elle a transformé ce monde en prison numérique, où les musiciens populaires ont lavé les gens avec des cerveaux. Naturellement, il y avait une opposition de ceux qui ont vu et réalisé que le monde est faux. Ils ont créé un club de go-home souterrain et ont commencé la lutte pour revenir à la réalité.

J’ai aidé, étonnamment, l’idole numérique d’Aria, la petite amie de Mu et l’un des créateurs de Mobius. Et j’ai dû me battre non seulement avec les musiciens, mais aussi avec les résidents locaux, qui étaient tellement grondus par la musique qu’ils se sont transformés en défenseurs agressifs du régime – au lieu de leurs têtes, ils avaient des enregistreurs de bande, d’énormes écouteurs et ainsi de suite.

Mu était belle.

Dans le Caligula Effect 2, la même chose se produit, mais déjà dans un monde virtuel appelé Redo, qui a été créé. Son nom, qui se traduit par regret, est naturellement Symbolic She veut (enfin, au moins il semble au début au début) que les personnes qui sont dans ce monde ne sont pas regrettables et sont heureuses. Le regret et ceux qui sont derrière elle sont sûrs qu’ils ont pris en compte les erreurs passées, mais de l’expérience de Mobius, nous savons qu’une telle utopie ne se terminera par rien de bien.

Et surtout, l’idole virtuelle de Hee, sa fille Mu, les créateurs de Mobius le savent très bien. Elle veut corriger les erreurs de sa mère et les empêcher de répéter, et donc à Redo crée un club de go-home souterrain, où avec elle, nous attirons tout le chemin qui veulent se souvenir de leur vie et revenir à la réalité. Les rêves pauvres et la capacité de remarquer la présence d’une idole virtuelle blonde, qui s’installe dans le corps du protagoniste (ou de l’héroïne), sert de laissez-passer.

Salut est aussi bon. De plus, il est à température rapide et aiguë dans la langue – il s’est avéré un personnage très drôle et brillant.

Où sont les rêves

Il est difficile de ne pas remarquer la similitude avec la série Personnage. Seulement si, par exemple, dans Persona 5, les sept péchés mortels étaient considérés, puis dans L’effet Caligula 2 À l’honneur, le commandement « ne créez pas d’idole pour vous-même ». Ce qui suit vient d’ici – n’allez pas après l’idole dans les mondes inventés. Par conséquent, il y a beaucoup de musique, de musiciens, d’idoles virtuelles et de leurs fans. Chaque emplacement ici est thématique, chacun a sa propre musique, et même notre Sauveur, une étoile étoilée virtuelle, chante pendant les batailles, qui donne certains bonus.

De plus, le gameplay lui-même est largement similaire à ce que nous avons vu dans Persona 3 et les problèmes «personnels» ultérieurs: il y a des missions de combat et en déshabiller les donjons, il y a des scènes de la vie scolaire et la capacité de communiquer avec divers personnages, de renforcer social liens avec eux (oui, tout le même lien social « personen »).

La base du sous-sol était le train. Ici, nous communiquons avec des personnages clés.

Mais à propos du gameplay – un peu plus tard, et maintenant – sur le fait que Tadasi Satomi De la même manière, il s’appuie sur l’intrigue et les images de personnages: les héros et les méchants conditionnels. Conditionnel parce que L’effet Caligula 2 Soulève la question qui est assez logique dans ces circonstances: est-ce si mauvais de créer, même inventé, mais idéal des mondes et si cela vaut la peine de revenir à la réalité?

Voici les méchants conditionnels, les mêmes musiciens et idoles virtuelles qui sont les masses – ce ne sont aussi que des gens avec leurs histoires qui se sont réduites pour réaliser leurs rêves. L’un, par exemple, avait peur de la mort biologique et s’est transformé en cyborg. L’autre rêvait de devenir artiste et astronaute en même temps – et ici, dans cette réalité virtuelle, il incarnait son rêve, étant l’une des idoles et des idoles.

C’est à quoi ressemble un vrai astronaute japonais.

Et ici, le dialogue de ce personnage avec les héros qui sont venus le battre est très indicatif (bien qu’avec chaque boss, vous pouvez d’abord parler, et même avec certains – même à boire une mouette). «Qu’est-ce qui est mauvais dans la réalisation de votre rêve, de devenir un artiste ou de voler dans l’espace?! » – s’exclame le « méchant ». Et personnellement, à ce moment-là, j’étais en solidarité avec lui, voulant poser la même question.

L’un des membres du club Go-Home parle en réponse très correcte qui peut être approximativement énoncée comme celle-ci. Être astronaute, artiste ou quiconque dans la vraie vie signifie faire preuve de persévérance, payer ce prix, après avoir passé la voie de l’essai et des erreurs, des connaissances, peut-être des chutes et de surmonter. Et ici, tout n’est pas réaliste, vous faites un rêve juste en cliquant sur vos doigts. C’est-à-dire que vous n’avez rien de réel, le présent, vous êtes un faux astronaute et artiste.

Sinon, cet «art» ne peut pas être appelé un clown grotesque. Mais les critiques, attention, et puis ils trouveront de la profondeur.

C’est-à-dire que le jeu nous dit que oui, il vaut mieux retourner dans le monde réel et vivre plein de sentiments réels, même s’il est plus difficile de réaliser votre rêve et même si vous n’êtes pas une fille, mais une vieille femme.

Entrer dans l’âme ou pas?

Une vieille femme dans la vraie vie est l’une des filles qui, avec notre héros (ou héroïne) et d’autres personnages clés, consiste en club de go-maison. Nous ne pouvons le découvrir que si pendant la construction de ces liens très sociaux avec elle (ceci est décoré en scènes de communication, divisé en épisodes) plusieurs fois de suite, nous accepterons de plonger dans son âme plusieurs fois de suite ). Après cela, il n’y aura pas de nouveaux épisodes, mais la vérité nous s’ouvrira, ce qui en même temps, le fait presque pleurer et explique beaucoup dans les motifs de la fille.

Cependant, pour un certain prix, la décision peut être modifiée et ne pas grimper dans l’âme à l’avance, afin que les épisodes continuent plus loin.

Et donc – avec chacun des associés. Tout le monde ici est intéressant à sa manière, chacun a ses propres squelettes dans le placard. Blonde Beauty, un lanceur-nucléaire, une classe diligente d’une classe, un étudiant, plus comme un garde sur les règles, qui est dans la vraie vie, ce que les secrets se cachent? Par conséquent, construire des liens sociaux avec eux, c’est-à-dire le passage de ces mêmes épisodes de l’histoire personnelle, où nous choisissons périodiquement des répliques et prenons des décisions, est l’une des clés et les meilleures parties du jeu.

Communication Hu avec notre métro – une chanson séparée. Avec de l’humour ici, au fait, tout va bien.

Travailler sur les erreurs

Un autre succès inconditionnel L’effet Caligula 2 est un système de combat qui se déplaçait généralement de la première partie, mais peut-être qu’il est devenu plus profond et plus intéressant. Les mêmes mécanismes sont basés sur la «chaîne imaginaire», qui vous permet de pré-évaluer les résultats de nos actions et de les ajuster.

Autrement dit, dans notre cours, nous choisissons traditionnellement comment et par qui le personnage attaquera, puis nous regardons ce qui en ira. Si à ce moment l’ennemi saute ou établit une barrière protectrice, nivelant des dégâts, alors il vaut mieux ne pas attaquer du tout, mais, par exemple, pour renforcer les dégâts / précision critiques ou quitter la ligne de défaite.

Ici, comme vous pouvez le voir, l’un des combattants a raté et le partenaire est mort – j’ai dû changer de tactique pour le traiter à l’avance.

La «chaîne imaginaire» vous permet de construire des chaînes entières d’actions, lorsque, par exemple, on jette l’ennemi dans l’air, et l’autre le frappe – pour cela, vous devez choisir les bonnes compétences qui s’ouvrent lorsque les niveaux sont définis. Si, par exemple, l’ennemi met la même barrière protectrice, et que nous pouvons attaquer avec des personnages différents, alors nous devons d’abord faire cela qui brisera ce bouclier avec ses compétences, puis d’autres peuvent être ajustées en déplaçant la ligne d’utilisation sur un échelle temporaire.

Et aussi, comme je l’ai déjà dit, le charmant de Hu nous aide à chanter – les chansons sont activées pendant la transition vers le mode Rage, et nous choisissons nous-mêmes les mélodies que l’équipe donne à l’équipe certains bonus – pour attaquer, la protection, et ainsi de suite. En même temps, ces bonus peuvent être pompés pour une monnaie spéciale.

Certains écrivent que tout cela est nivelé par la facilité des batailles – ils disent que toutes ces manipulations avec la «chaîne imaginaire» sont toutes les mêmes, tout est tenu par une attaque de base. Je ne sais pas à quel niveau ils ont joué, mais ici même à la normale, c’est très, très difficile.

Oui, il y a des combats de passes où vous ne pouvez vraiment pas tout regarder avec un seul bouton. Mais il y a aussi pas mal de batailles importantes où vous devez réfléchir tactiquement et utiliser toutes les possibilités d’un système de combat non trivial. Je ne parle pas de boss – ce n’est bien sûr pas un Solslak, et je n’ai pas à rejouer 10 fois, mais la première fois que je n’ai pas réussi la première fois. Et si vous jouez dur et sur l’expert, alors il y a certainement tout le charme des batailles.

Chaque personnage a de puissantes techniques animées.

Tout cela est renforcé par le système de rôle de travail, qui est basé sur les artefacts, la stigmatisation – ils donnent naissance à des indicateurs de caractère (attaque, protection, évasion, précision, etc.). Et certains d’entre eux pompent et ouvrent des bonus permanents qui agiront, même si vous supprimez l’artefact.

Mais la chose la plus intéressante est qu’il y a des stigmes qui ont doté le personnage principal ou l’héroïne avec des compétences sociales et conversationnelles – ils sont essentiels pour la communication avec de nombreux PNJ et accomplissent leurs tâches.

Parfois, vous devez résoudre des puzzles et parcourir les labyrinthes.

Ici, nous abordons ce que beaucoup ont critiqué la première partie et critiquent la suite – à l’abondance de résidents superficiellement prescrits, avec qui nous semblons également établir des relations, effectuant leurs instructions primitives.

Mais, d’abord, ils sont meilleurs et plus divers. Dans un, par exemple, nous aidons une jolie fille à résoudre ses problèmes au travail dans le magasin. Et dans l’autre, nous rejoignons même l’un des gangs locaux. C’est-à-dire que tout n’est plus réduit à la nécessité de trouver quelqu’un un couple. Et deuxièmement, n’oubliez pas que tout cela est un contenu supplémentaire. Fatigué? Veuillez y aller en fonction de l’intrigue, effectuant uniquement des quêtes secondaires pour obtenir des consommables ou des bonus aux caractéristiques.

Le niveau des relations et le degré d’exécution des quêtes sont également affichés très clairement.

L’effet Caligula 2 – RPG très conceptuel et très japonais. Et si vous n’aimez pas ça, en plus vous ne connaissez pas l’anglais, et l’abondance de discours japonais expressifs et très spécifiques vous agace, alors mieux vous passer. De plus, il n’y a pratiquement pas de service de fans – l’histoire est complètement différente. Oui, et techniquement, avec toute la conceptualité des emplacements et des effets des batailles, le Caligula Effect 2 semble obsolète. Mais si tous les japonais dans les jeux que vous aimez et encore plus si vous aimez la série Personnage, Ensuite, ça vaut vraiment la peine d’apprendre à connaître. Oui, bien sûr, ce n’est pas Persona 5, mais en tenant compte du travail sur les erreurs, le jeu capture, provoque des émotions et vous fait même réfléchir à des questions importantes. Certes, au début, il vaut mieux se familiariser avec la première partie.

Avantages: Complot intéressant et adulte;personnages brillants et ambigus;Le système de liens sociaux peut présenter de nombreuses surprises;Système de combat non trivial et passionnant.

Inausives: Beaucoup de quêtes secondaires banales (qui, cependant, sont devenues plus intéressantes par rapport à l’original);Performances techniques faibles.