Review Legend of Grimrock 2

L’un des jeux de rôle les plus purs de ces dernières années obtient une vaste suite de la vieille école à être fière.

Peut-être que la chose la plus impressionnante à propos de la suite presque humaine de son hit Indie RPG 2012 est à quel point il établit en toute confiance un équilibre entre la liberté et la contrainte. Le changement le plus immédiatement évident est l’interrupteur de l’intérieur sombre d’une prison de montagne à une île ensoleillée, mais pas moins sinistre.

Pour quiconque a joué l’original, la différence esthétique est impossible à manquer. Lorsque vous commencez votre aventure, enfermée dans une cage sur une plage, la présence d’un ciel bleu au-dessus de vous et les horizons lointains ont un effet revigorant. C’est un endroit qui invite l’exploration. Pourtant, presque humain a sagement résisté à l’attrait du bac à sable. Vous êtes toujours limité au même motif de grille à l’ancienne qu’auparavant, le monde a construit autour des mêmes boîtes en papier graphiques fiables qui conduisent des prédécesseurs stylistiques tels que l’œil du spectateur. Souvent, le jeu conspire pour vous forcer des couloirs étroits, formés par des arbres ou des rochers ainsi que de vrais murs en pierre, mais il s’ouvre également en cas de besoin, dans des clairières spacieuses. C’est un environnement à la fois expansif et concentré.

Un acte d’équilibrage radieux similaire se déroule dans Grimrock 2 à tous les niveaux, ce qui se traduit par une suite qui améliore son modèle à travers le tableau sans tomber contre le piège de conception facile de s’embrasser dans de nouvelles fonctionnalités. En 2012, presque humain comprenait intimement le style de jeu qu’il voulait ressusciter et cela n’a pas permis de réussir à bloquer cette vision.

Alors, encore une fois, tu te retrouve Contrôle ling un quatuor de personnages – soit fabriqué à la main par le joueur, soit au hasard. Ils se déplacent ensemble, un carré à la fois, avec des combattants en mêlée à l’avant et l’assistant de casting de sort et l’attracture, l’alchimiste de fabrication de potions prenant l’arrière.

Control est simple et intuitif. Cliquez sur des objets du monde pour les récupérer. Déposez-les dans les créneaux à main ouverts des fenêtres du caractère, ou placez-les dans leurs inventaires. Le clic droit utilise des objets et des armes. C’est le même système que vous utilisez pour interagir avec les fichiers et les programmes sur votre PC, donc pratiquement tout ce que vous voulez faire dans le jeu est fait comme vous vous attendez. Rare est la situation où vous devez vous tourner vers les instructions pour aider à naviguer dans les systèmes du jeu.

Vous aurez cependant besoin d’aide à naviguer dans l’île elle-même, qui est à la fois plus grande et plus complexe que les donjons Grimrock. En partie, c’est une idée vendue à travers la plus grande variété visuelle rendue possible par les lieux de l’extérieur, alors que vous parcourez de la plage à la forêt en passant par les marécages et au-delà, mais c’est vrai aussi au niveau structurel. Le premier match était super, bien qu’il ait été contenu et largement linéaire. Maintenant, Grimrock se propage dans plusieurs directions à la fois, et les joueurs imprudents qui facturent à l’avance, remplissant autant d’automap.

Il vaut bien mieux prendre les choses lentement, progresser méthodiquement et profiter des fonctions de prise de notes de la carte pour vous rappeler ce que chaque porte verrouillée et le passage bloqué pourrait nécessiter. Vous rencontrerez la ménagerie attendue des créatures au fur et à mesure, et dépoussiérez ces muscles de combat à la suppression de latéraux, mais qui se bat dans Grimrock – comme dans tout grand joueur de rôle – est finalement juste un moyen pour unfin.

Le XP gagné pour chaque victoire est essentiel, bien sûr, en développant les arbres de compétences de vos personnages et en ouvrant plus de possibilités, mais le cœur de la noisette et moelleux du jeu est spatial plutôt que de nature martiale. Il s’agit de se rendre dans des endroits – passer à cette porte, passer ce piège, en vous prolongeant ces puzzles.

Ah, les puzzles. Ce sont ce qui fait vraiment ressortir cette série, et c’est aussi là que l’évolution subtile mais puissante de Grimrock 2 est la plus évidente. Ce sont de véritables grattereurs de tête, du genre qui aurait autrefois ajouté des muscles à Hardcore Point et cliquez sur les jeux d’aventure. Certains sont de nature mécanique, vous obligeant à travailler sur la fonction d’un ensemble de pierres et d’acier. D’autres sont entièrement cérébraux, vous tâtant avec des codes de fissuration plutôt que des crânes. Parfois, la solution ne nécessite que de la logique impitoyable, parfois une pensée latérale et une inspiration improbable est ce qui efface le chemin à venir. La réponse ne se sent pas à l’occasion comme une triche;Pour la plupart, ce sont des exemples parfaits de la façon de défier le cerveau du joueur, avec des solutions qui semblent impénétrables pendant si longtemps, avant de devenir entièrement évidente dans l’éblouissement d’un moment victorieux d’ampoule lumineux.

Le rythme est également amélioré par rapport au jeu précédent, avec une escalade plus stable des deux rencontres de monstres et des difficultés de puzzle. Il y a encore beaucoup de mal, mais peu qui vous laisseront avec nulle part ailleurs pour aller. Cela ne signifie pas que le jeu est plus facile, ou que les joueurs occasionnels seront conduits par la main jusqu’à la fin, mais qu’il y a une interaction beaucoup plus nuancée entre la frustration et le progrès. Vous avez besoin que le premier fasse fonctionner ce dernier, mais même si vous vous trouvez bloqué par une porte, vous trouverez des poches d’exaltation d’autres découvertes et victoires plus petites pendant que vous racinez. Plus d’une fois, en retour en arrière pour l’inspiration, j’ai trouvé des coffres, des articles et des leviers dans les zones que j’ai juré que j’avais choisi Clean.

C’est le genre de jeu qui exige une soumission complète – vous vous rendez et vous enfoncez dans ses profondeurs, ou vous jetterez un coup d’œil à son extérieur un peu froid et pierreux et vous vous demandez de quoi parle les histoires. Raciler cette transition plus facile est un accent plus accent sur la présentation, avec des graphiques qui profitent pleinement d’être libérés des passages en pierre sombres et des monstres émeutiers. Ceux-ci surgissent, dans plusieurs mèches dans des grottes et des ruines souterraines, mais maintenant ils sont un changement de rythme effrayant plutôt que d’un marathon claustrophobe. Il y a des scènes ici qui sont épiques par rapport à ce qui s’est précédé et, même à travers le mouvement rigide basé sur la grille, presque humain les révèle au joueur d’une manière qui élargira vos yeux et lèvera votre pouls. L’attrait de trouver un endroit nouveau qui ne perd jamais son éclat.

Nous sommes tellement conditionnés à s’attendre à ce que les suites entravent dans plus de fonctionnalités dans le but d’être sensiblement différente, mais il y a une confiance silencieuse pour Grimrock 2 qui est complètement séduisante. Plus grand, plus audacieux et tout à fait sûr de lui-même et de son public prévu, presque humain se tourne peut-être vers l’inspiration, mais il a créé l’un des meilleurs jeux de rôles purs de l’année.

9/10